Julie se fait remarquer dès son jeune âge, par ses talents de dessin . Elle prends des cours d’été avec une artiste peintre de Saint-Bruno-de-Montarville à l’âge de huit ans sous le pseudonyme Julie Léonard, les cours étant réservés exclusivement aux résidents de cette municipalité, elle emprunte le nom de famille d’une amie de la famille qui y habite. Elle fait sa première exposition et vend ses premiers dessins. Elle participe à plusieurs concours où elle a remporté plusieurs prix.
” Je suis fascinée par la transparence et l’expérimentation accidentelle contrôlée.”
On reconnait son talent
Dès douze ans elle fait des murales dans des maisons privées. À treize ans, elle vend deux sculptures à un collectionneur privé qui travaille au musée du Louvre. À quinze ans elle illustre un livre d’enfants et vend plusieurs dessins et illustrations.
Elle étudie les techniques des arts plastiques au cégep du Vieux Montréal.
Elle fait des études en design tridimensionnel à l’université Concordia à Montréal. Durant ses études en arts et en design elle découvre son style pictural que ses professeurs reconnaissent et encouragent. Elle vend plusieurs peintures pour payer ses études.
C’est en 1988 qu’elle commence à peindre activement et elle vend plusieurs toiles à des collectionneurs privés.
Nouveau départ
Julie connaît des problèmes de santé qui vont la forcer à ranger ses pinceaux pendant plusieurs années. Sans pour autant oublier son amour de la peinture, elle continue de se documenter et à faire des recherches pour se préparer au moment où elle pourra enfin se consacrer à sa passion.
En 2009, elle est victime d’un acte criminel où elle a failli perdre la vie. Suite à cet événement marquant elle prend un tournant majeur dans sa vie et met tout en oeuvre pour recouvrer la santé et se consacrer à sa peinture
Ses œuvres s’inscrivent dans une démarche émotionnelle. Elles font appel à l’imaginaire, elles se veulent un outil méditatif.